Vous connaissez ce genre de collègue ? Ce genre de collègue qu'on a pas envie de voir devant son bureau mais sous le notre.

Beaucoup d'homme et de femmes fantasment sur leurs collègues, souvent des désirs jamais avoués ou réalisés pour moults raisons.

Je ne fais pas exception à la règle. Dès mon premier stage en entreprise, lorsque j'avais 15 ans. Il y a donc un bon petit paquet d'années.

C'était une petite entreprise. La directrice, proche de la retraite, avait encore de beaux atouts pour réveiller n'importe quels désirs masculins. Surtout celui d'un ado qui venait de se découvrir un nouveau membre.

Mais son caractère n'était pas tendre. Elle ne faisait que crier sur le peu d'employés qu'il y avait à la moindre erreur ou si elle trouvait le temps trop long. Malgré mon rôle d'observation je n'ai pas fait exception et j'ai reçu beaucoup de remarques colériques. Elle trouvait les jeunes travailleurs ridicules et incompétents. Les étudiants aussi d'ailleurs depuis que les punitions physiques n'étaient plus autorisés. Et elle a passé l'après-midi à me hurler dessus comment c'était "mieux avant".

La nuit, j'ai rêvé d'elle soumise à ma volonté de patron qui la punissait en tant que mauvaise employée comme c'était à son époque.

Ce rêve m'a fait découvrir un penchant sexuelle que j'ai adoré. Je n'ai, ensuite, qu'imaginé les femmes sous mes ordres. En faisant des recherches c'est ainsi que j'ai découvert le monde du BDSM, avec ce site, et plein d'autres fantasmes qui m'ont permis de rêver toute mon a d o l e s c e n c e.

Aujourd'hui je viens de passer le palier des 30 ans. Je m'amuse avec des coups d'un soir, sans jamais de sérieux. La majorité du temps se sont des femmes qui ont le désir d'être sous mes ordres ou totalement dominées dans le lit à mon grand bonheur.

Une fois j'ai essayé d'avoir une relation de couple avec une. Mais, très rapidement, mon côté possessif l'a ennuyée et elle est partie en me disant "tu resteras toujours seul, pauvre fou". Ainsi soi t'il, pour l'instant j'en suis très heureux.

Je travaille actuellement dans une boîte prospère qui continue de s'agrandir à la grande joie de mon responsable de service, qui va bientôt prendre sa retraite et que je vais remplacer. Il y a peu une nouvelle employé est arrivée dans le secteur des ressources humaines qui est très proche de mon bureau. Et dès la première fois que je l'ai vu, mes rêves érotiques d'ados sont vite revenus.

Les jours sont passés et à f o r c e de la connaître mon envie grandie. Violette, une petite femme de 25 ans très joviale. Toujours habillé en couleur avec des robes, jupes que je veux lui soulever ou des chemisiers que j'ai envie de lui arracher. Surtout quand on voit la paire de seins qu'ils renferment. Cette coquine sait qu'elle plaît aux hommes et n'hésite pas à sortir les décolletés qui permettent de mettre en valeur ses 2 généreux atouts.

Comme j'aimerais enrouler mes doigts entre ses tentons, pointus, puis les pincer et les tirer avec passion. Ou même, juste caresser cette peau rose si lisse.

Un jour j'ai vraiment cru que je n'allait pas réussir à me maîtriser : Notre photocopieuse était en panne. Nous avons donc dû utiliser celle du secteur RH. Un moment j'y vais et je passe devant son bureau. Je la découvre à quatre pattes, en dessous de son bureau, ses belles fesses rondes face à moi qui bougeait légèrement sous sa fine jupe bleu du jour.

Je suis restée immobile et silencieux face à se spectacle qui m'a tout de suite mis en érections. En se relevant et en me voyant, elle se mit à rire légèrement gêné. Elle avait fait tomber sa clé usb en dessous du bureau et venait de la récupérer.

En entendent son petit rire, en voyant cette bouche aux lèvres roses ouvertes. J'ai eu comme un flash, de moi en train de lui remplir sa bouche avec mon membre bien tendu par sa faute. Après ça, avant d'aller photocopier, j'ai dû faire un détour au toilette pour calmer se feu en moi qui devenait douloureux.

Violette est sociale, elle discute avec tout le monde dans le monde hommes comme femme. Et je vois bien le regard des hommes sur ses formes, sa peau. Dans ces moments là, j'ai envie de la couvrir de vêtements pour tous les lui enlever à l'abri des regards.

J'ai envie de la punir de draguer ainsi les hommes alors qu'elle est à moi. C'est une évidence, je la veux.

Nous avons régulièrement des réunions ensemble. Et je constate qu'elle a du mal à dire non lorsque qu'on lui demande une tâche. Elle essaye de toujours faire le maximum pour plaire et faire correctement son travail. De plus, j'ai pu analyser que son regard se baissait souvent vers le sol quand elle est face à un responsable ou directeur.

Ce caractère soumis me fait encore plus l'adorer et la désirer. Face à moi, elle ne baisse pas les yeux, mais ça ne saurait tarder.

Les vacances d'été arrivent et l'entièreté d'un bâtiment va fermer, notre bâtiment, pour le rénover. Nous serons donc tous en vacances durant 3 semaines puis 2 semaines de télétravail.

Juste avant de partir, il est organisée une petite fête et je décide de tenter ma chance et mettre violette dans mon lit.

Le soir arrive et je sors ma plus belle chemise et mon plus cher parfum. Dans la salle de la fête, je la cherche partout. Il y a beaucoup de monde. Mon regard se porte soudain sur elle. Elle est magnifique mais je fais une découverte assez frustrante.

À son bras se trouve un homme qu'elle présente comme son compagnon de vie. Durant toute la soirée, ils vont rester collés l'un à l'autre, s'embrasser et se regarder avec beaucoup d'amour dans le regard.

Je ne pourrais jamais lui donner ça, et si elle en a besoin, qu'elle est heureuse, vaut mieux ne rien tenter avec elle. Je sais que je suis un bon coup mais je ne pense pas au point de sacrifier la relation de sa vie.

Je rentre donc la queue entre les jambes.

Les vacances arrivent, je m'ennuie. Au bout de 3 jours, je ne supporte plus mon appart. Alors, malgré la pluie, je décide de sortir me promener. Je marche un petit moment et je ne passe pas loin de mon lieu de travail. Au bout de la rue, il y a un parc. Il est vide à cause de la pluie, enfin presque. Sur un banc une jeune femme, ses longs cheveux bruns sont trempé et ses vêtements lui collent à la peau montrant toutes ses formes, dommage qu'aucun n'était de couleur claire.

Je m'approche de cette femme et je la reconnais, Violette. Ses yeux rouges et tout mouillés me regardent, je me pose face à elle:

• Violette que t'arrive t'il ? Pourquoi es tu comme ça ? Tu vas attrapé la crève !

• .... Je suis désolée... Je... Je n'ai nul part où aller...

• Comment ça ? Et ton appart ? Tu veux que j'appelle ton copain pour toi ?

A ces mots elle explose de sanglots. Je m'assois à côté d'elle et lui frotte le dos pour la calmer. Elle reprend son souffle et m'explique :

• Il m'a trompé... Avec giselle, la secrétaire des ressources humaines..... Et maintenant il veux que je dégage de son appart... Mais je ne sais pas où aller.....

Sans réfléchir, je lui dit :

• Viens vivre chez moi.

Et c'est ainsi que j'ai refermé mon étau autour de cette fleur.